" Verser des larmes " définit l'action de pleurer, selon le Larousse 2004. Certains le définissent autrement : " Des événements mettent notre système psychique sous tension, ce qui se répercute au niveau biologique par une libération d'hormones du stress et une crispation de certains muscles. Pour libérer cette tension, l'hypothalamus (le siège des émotions) peut déclencher larmes et sanglots (selon le site axiocafe.fr/pourquoi-pleure-t-on).
Pourtant, nous avons tous déjà entendu certaines expressions comme ''tu vas pas pleurer comme une fillette", "tu pleurs comme une madeleine"... Souvent pleurer est considéré comme un signe de vulnérabilité. La personne qui pleure est vue comme incapable de contrôler ses émotions, comme faible. Nous nous sentons donc gênés et honteux dans ce genre de situation, c'est pour cela que nous nous retenons souvent de pleurer. Mais est-ce une bonne chose ?
Alors : "Le refoulement des larmes lors de fortes émotions peut-il avoir des répercussions sur l'organisme ?"
Tout d'abord nous nous intéresserons à l'appareil lacrymal et aux larmes, puis nous étudierons le processus émotionnel, et pour terminer nous aborderons les répercussions de l'absence de larmes sur l'organisme.
Pourtant, nous avons tous déjà entendu certaines expressions comme ''tu vas pas pleurer comme une fillette", "tu pleurs comme une madeleine"... Souvent pleurer est considéré comme un signe de vulnérabilité. La personne qui pleure est vue comme incapable de contrôler ses émotions, comme faible. Nous nous sentons donc gênés et honteux dans ce genre de situation, c'est pour cela que nous nous retenons souvent de pleurer. Mais est-ce une bonne chose ?
Alors : "Le refoulement des larmes lors de fortes émotions peut-il avoir des répercussions sur l'organisme ?"
Tout d'abord nous nous intéresserons à l'appareil lacrymal et aux larmes, puis nous étudierons le processus émotionnel, et pour terminer nous aborderons les répercussions de l'absence de larmes sur l'organisme.